L'esclave d'une gynarchiste

Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 9 ans

Auteur : inconnu

Une sensation étrange lui envahissait l'esprit. Encore tout engourdi, il tenta de bouger , mais il n'y parvenait pas. Il ouvrit les yeux, mais il n'y voyait pas non plus, comme si le bandeau de la veille lui recouvrait toujours les yeux. Il avait froid, et surtout, il se trouvait dans une drôle de posture. Quelque chose dans sa bouche l'empêchait de respirer et de parler, mais surtout, ses jambes et ses bras, étaient devenus inertes, incapable du moindre mouvement.

Pierre essaya de bouger, mais de solides attaches le maintenait immobile. Une odeur étrange filtrait dans ses narines, et une douleur lancinante se faisait ressentir derrière ses genoux, et à son sexe. Il prit conscience tranquillement de la posture étrange de son corps.

Il se trouvait suspendu dans le vide, tête en bas, les genoux repliés sur une barre de métal, cuisses écartées, les bras derrière son dos, insérés dans une sorte de carcan , qui l'empêchait de bouger , sa tête était recouverte d'une combinaison de cuir, à ce qu'il pouvait en juger par l'odeur.

Un objet était enfoncé profondément dans sa bouche, qui l'empêchait de parler ou de crier, et un bandeau recouvrait ses yeux.

Ses poignets insérés dans le carcan , étaient tirés vers le sol. et il ne pouvait les relever, ce qui lui tirait les épaules douloureusement vers le bas. Il aurait réussi à bouger ou à essayer de se débattre , si ce n'avait été de l'installation qui recouvrait son pénis et ses testicules, il ne pouvait voir ce qui le retenait, mais il lui semblait que à chaque effort qu'il tentait pour ramener son corps dans une position perpendiculaire au sol, ce qui aurait pour effet de diminuer la douleur à ses épaules, son pénis voulait s'arracher de son entre-jambe.

Il était suspendu dans le vide , entre ciel et terre, les bras derrière le dos, les genoux reliés sur cette barre , les chevilles fermement fixées à des chaînes, fixées à leur tour à une large ceinture de cuir autour de sa taille, et ce sac qui lui enfermait le sexe et qui était lui-même, relié à une chaîne rivée au plancher.

Il prit soudain conscience qu'il était nu, ce qui expliquait ses frissons. Aucun bruit ne lui parvenait si ce n'est celui de sa respiration saccadée. Le sang dans sa tête lui martelait les tempes, cela provenait de sa position inversée. Depuis combien de temps était-il ainsi suspendu, il ne pouvait le dire, mais depuis quelques heures sûrement, à en juger par la douleur à sa tête, et aux élancements derrière ses genoux. Il ne sentait plus ses jambes tant la tension exercée par son poids était contraignante.

Il entrevit un début de réponse dans la manière dont Madame Éloïse l'avait incité à boire quelque chose à son arrivée. Il comprit enfin qu'elle l'avait drogué. Il s'était endormi, et elle l'avait sûrement installé de la sorte pour il ne savait quelles raisons.

Comme il ne pouvait bouger ni parler,il ne lui restait plus qu'à attendre que quelqu'un vienne le libérer. toutes tentatives qu'il puisse imaginer pour se libérer seraient necéssairement vouées à l'échec. Aussi il ne lui restait plus qu'à ruminer et à penser ce que Madame Éloïse envisageait faire de lui.

Il lui semblait que cela allait perdurer éternellement. La panique s'emparait peu à peu de son esprit, et il pensa que peut-être elle avait décidé de le garder ainsi suspendu jusqu'à ce quelqu'un se décide à payer une rançon, ou bien voulait-elle simplement le maintenir prisonnier, pendant qu'elle en profiterait pour vider ses comptes de banque

Mais pourquoi l'avoir installé dans une pareille position? Toutes ces questions ces questions se bousculaient dans son esprit, au fil des heures, et il ne parvenait à y trouver quelques réponses que ce soit.

Un bruit de porte qui se referme, lui parvint.

Il commençait à ressentir une légère érection. L'étrangeté de la situation, exacerbait sa libido. Mais la fraîcheur de la pièce ou il se trouvait , lui donnait en fait la chair de poule, sa nudité et la disponibilité de son corps immobile ainsi offert, déclenchait toute une panoplie de fantasmes dans son esprit.

Il pouvait s'imaginer Madame Éloïse , abusant de son corps, et lui incapable de résister. Mais il ne pouvait si bien dire, il était bien loin de la réalité. En ce sens que cela n'était en fait que la pointe de l'iceberg.

Les aspirations de la dame allaient s'avérer beaucoup plus extrèmes que ce qu'il n'aurait jamais imaginer. Une porte s'ouvrit, et des claquements de talons sur un plancher de ciment, s'avançèrent vers lui. Il ressentit comme une traction douloureuse sur son pénis et ses bras arrières, et la voix de Madame Éloïse lui dit,

" Alors mon petit, tu n'as pas trop froid ? Je te trouves bien ainsi, je pense que je vais te laisser ainsi suspendu pour la journée, on vas voir si tu es résistant. Ou peut-être vais -je tout simplement abuser de ton pénis jusqu'à ce que tu me supplie de cesser, ou bien je déciderai de te fouetter le cul , jusqu'au sang, je verrai, je ne sais pas encore ce que je vais faire de toi. "

Pierre commençait à être nerveux. Des mains lui enlevèrent son bandeau, et après quelques instants, et quelques clignements, il vit devant lui une longue paire de jambes chaussées de bottes de cuir au genoux, juchées sur de vertigineux talons pointus. Il releva la tête et Madame Éloïse lui apparût dans toute sa splendeur. Un body de cuir , lui moulait le corps, et un laçage sur le devant laissait apparaître les formes de sa poitrine. Elle portait de longs gants de cuir et elle tenait à la main une cravache souple et fine, qu'elle agitait pendant qu'elle parlait.

De sa main restée libre, elle tenait la chaîne qui retenait son pénis au plancher de la pièce, et elle exerçait de petites traction sur celle-ci , afin de bien faire ressentir à Pierre, la fragilité de sa posture. Pierre se trouvait suspendu à environ un mètre du sol, juste au niveau des hanches de la femme.

Elle s'avança vers lui, en tenant toujours la chaîne, et de sa main qui tenait la cravache, elle défit les boutons pressions de l'entre jambe de son body- suit, qui s'ouvrit , et elle se positionna, de manière à ce que le visage de Pierre soit vis à vis de son sexe. Puis elle dit, " Suce moi, suce moi tout doucement, lèche ta Maîtresse, fais aller ta langue, montre moi si tu peux faire jouir une femme". Elle s'appuya le sexe tout contre son visage, et lui enfonça le nez entre ses jambes en poussa sa tête avec son autre main.

N'ayant d'autres choix, Pierre se mit à lècher le sexe de la femme. L'odeur du sexe de Madame Éloïse était forte et musquée et son sexe velu obligeait Pierre à chercher son chemin pour pouvoir donner satisfaction à la dame. Elle avait enlevé le bâillon de sa bouche pour ce faire, et sa langue encore ankylosée par le baillon ne semblait pas donner pleine satisfaction à Madame, aussi tira-t-elle brusquement sur la chaine de son pénis , pour bien signifier son mécontentement. " Allez, un peu plus de nerf," dit-elle, "sinon je vais t'arracher la queue."

Pierre cette fois ressentit si douloureusement la traction qu'il faillit en mourir. Cela eut pour effet de le convaincre d'obéir. Il s'activa et entra au plus profond du sexe de Madame Éloïse sa langue , tout en la tournant, et en lui aspirant le clitoris, il fit pénétrer sa langue, il fit tout son possible pour la satisfaire. et à chaque fois qu'il s'arrêtait un peu pour souffler, une nouvelle traction le rappelait à l'ordre. Il s'étouffait et avalait de nombreux poils mais il réussit quand même à provoquer un balancement de plus en plus saccadé du bassin de sa geôlière. Elle commença à prendre du plaisir, et parvint à son orgasme. Elle tenait toujours la tête de Pierre fermement collée contre son sexe. et Pierre sentit soudain son visage inondé par la jouissance de la femme.

Elle prit tout son plaisir, et relâcha enfin les cheveux de Pierre, et recula de son visage.

"Hum , hum," murmura -t-elle, pendant qu'elle continuait à se caresser le sexe, de sa main libre. Puis elle se retourna et lui présenta son postérieur et lui dit, " suce -moi le cul maintenant, pousse moi ta langue bien au creux de mon trou, tu dois terminer ton travail, et bien me nettoyer, sinon, je connais une bite qui va s'en ressentir."

Pierre s'exécuta , et entra sa langue dans l'anus de la femme, et lècha le trou jusqu'à ce qu'elle lui intime l'ordre de cesser . "Ça suffit maintenant, je vais te détacher, et je veux que dorénavant tu m'obéisses au doigt et à l'oeil." Mais pour aujourd'hui je t'ai aménagé un endroit pour te garder à ma disposition." ,

Elle libéra Pierre de ses chaînes, et il se retrouva étendu sur le plancher de ciment , incapable du moindre mouvement, tant ses muscles étaient ankylosés.

Elle lui laissa la gaine de cuir sur son pénis, ainsi que la cagoule qui lui recouvrait la tête et le visage, de même que le sac de cuir qui enfermait ses bras derrière son dos. Puis elle alla ouvrir une armoire, à deux battants, et revint avec un collier de cuir qu'elle lui passa autour du cou.

Elle referma le collier avec un petit cadenas, et fixa une laisse à un anneau rivé au collier sous son menton.

" Voila, , tu vas me suivre, et tu vas faire tout ce que je te demanderai," et elle appuya ses dires par quelques bons coups de cravache bien appliqués sur les fesses de Pierre.

Elle prit la courte chaine de la laisse, et tira Pierre jusqu'à la porte qu'elle ouvrit, elle passa devant entrainant Pierre derrière elle dans un escalier étroit et sombre.

Ils montèrent deux étages , une autre porte donnait sur l'autre pallier, et Pierre vit qu'elle donnait sur une cave.

Il comprit que sous le premier sous-sol, Madame Éloïse avait fait aménager un autre soubassement, immédiatement. enfouit sous la cave de la maison. C'est pourquoi il n'y avait ni portes extérieures, ni fenêtres, à l'endroit où il s'était réveillé, et pourquoi aussi, il n'y filtrait aucun bruit de l'extérieur.

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